J'ai toujours aimé que l'on me raconte des histoires ...... de vraies histoires, comme dans les contes de fées, même quand j'allais au catéchisme (non par choix mais parce que à ce moment là, c'était comme ça) j'attendais avec impatience la suite des aventures de Jésus, de Marie-Madeleine et de toute la "dream team" de l'époque !
Plus tard, j'ai découvert la puissance de la "Parabole" qui permet mine de rien de faire passer le message sans pour autant être le moralisateur de service !
Parabole + Internet, je vous laisse imaginer : c'est le "pied intégral" pour tout prédicateur bien ancré dans son temps !
Certains ne s'en privent pas d'ailleurs ........ je ne donnerai aucun indice, je ne suis pas pour la délation, chacun est capable de voir, d'entendre, d'analyser et de tirer les conclusions qui s'imposent !
J'ai reçu il y a peu un de ces contes, de la part d'une amie, qui cultive les mêmes ingrédients que moi, pour essayer de donner du mieux-être à qui le veut bien ! J'y ai vu une Parabole magnifique !
Je vous le livre tel quel ! Je vous laisse en tirer la substantifique moëlle ;
Il s'agit du principe de la grenouille chauffée, conte d'Olivier Clerc, écrivain et philosophe
LA GRENOUILLE QUI NE SAVAIT PAS QU'ELLE ETAIT CUITE !
Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille !
Le feu est allumé sous la marmitte, l'eau chauffe doucement !
Elle est bientôt tiède.
La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager.
La température continue à grimper.
L'eau est maintenant chaude.
C'est un peu plus que n'apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s'affole pas pour autant.
L'eau est cette fois vraiment chaude.
La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s'est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien.
La température continue à monter jusqu'au moment où
la grenouille
va tout simplement finir par cuire et mourir.
Si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l'aurait éjectée aussitôt de la marmite.
Cette expérience montre que, lorsqu'un changement s'effectue d'une manière suffisamment
lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune
opposition, aucune révolte .
Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis quelques décennies, nous
subissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons.
Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou 40 ans, ont été peu à peu
banalisées et nous dérangent mollement à ce jour, ou laissent carrément
indifférents la plupart des gens.
Au nom du progrès et de la science, les pires atteintes aux
libertés individuelles, à la dignité , à l'intégrité de la nature, à la beauté et au bonheur de vivre,
s'effectuent lentement et inexorablement avec la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies.
Les noirs tableaux annoncés pour l'avenir, au lieu de susciter des réactions et des mesures
préventives, ne font que préparer psychologiquement la grande majorité à accepter des conditions de vie décadentes, voire dramatiques pour certains.
Le "gavage" permanent d'informations de la part des médias sature les cerveaux qui
n'arrivent plus à faire la part des choses...
Alors ? SOMMES NOUS COMME LA GRENOUILLE,
DEJA A MOITIE CUITS ?
Si la réponse est NON, encore faut il donnez le coup de patte salutaire avant qu'il ne soit trop tard !
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